Jéremie Beyou, Charal

Comment Exposure Marine veut poursuivre son développement dans l’univers de la course au large – article sponsorisé

Division marine d’Ultimate Sports Engineering, groupe britannique initialement spécialisé dans les lampes et les accessoires haut de gamme pour le cyclisme (route, gravel, VTT…), Exposure Marine a été fondée en 2011 et emploie aujourd’hui une trentaine de personnes dans ses locaux situés à Pulborough, non loin de Portsmouth.

La filiale, dont l’activité représente désormais de 20 à 25 % du chiffre d’affaires du groupe (4,12 millions d’euros), fabrique des systèmes d’éclairage haut de gamme à destination des marins (frontales, torches), qu’ils soient professionnels (secours, pêche…) ou coureurs au large.

La collaboration avec ces derniers a réellement débuté en 2014, initiée par le marin écossais Mark Covell. On-board reporter lors de la Volvo Ocean Race 2011-2012, ce dernier avait pu constater lors du tour du monde la nécessité d’un éclairage de plus grande puissance à bord des bateaux. Il met en contact les dirigeants d’Exposure Marine avec Ian Walker, avec lequel il a décroché en 2000 la médaille d’argent en Star aux Jeux de Sydney. Le feeling passe bien, puisque ce dernier, qui s’apprête à s’élancer à la barre du VO65 Abu Dhabi sur l’édition 2014-2015 de la Volvo Ocean Race (qu’il remportera), embarque les premières lampes frontales signées Exposure Marine.

“Dès la première étape, Abu Dhabi a démâté de nuit. Autant dire que nos lampes ont tout de suite été testées dans les conditions les plus extrêmes, avant de continuer à faire le tour du monde, sourit Tom Harrop, directeur d’Exposure Marine. Dans la foulée, nous avons ensuite équipé Charles Caudrelier sur Dongfeng en 2017. Depuis lors nous sommes intimement liés aux courses au large les plus exigeantes, à The Ocean Race en particulier.”

C’est en participant à cette édition 2017-2018 à bord de Dongfeng que Jérémie Beyou découvre et apprécie les frontales du fabricant britannique.  “Les bateaux étaient très souvent sous l’eau, les marins aussi et on n’a pour autant jamais eu aucun problème d’étanchéité !” commente-t-il. Lorsqu’il lance son projet de Vendée Globe 2020, le skipper de Charal décide ainsi de s’équiper chez Exposure Marine : ”Les frontales Raw Pro 2 sont hyper-étanches et tellement puissantes qu’on arrive à voir la tête de mât. En plus, le nouveau système de charge USB évite d’ouvrir la frontale pour faire la charge, ce qui garantit vraiment l’étanchéité de l’ensemble. Quant aux trim-torch, elles sont toutes petites et légères, car construites en matériaux composites, ce qui permet de les mettre dans la poche sans les sentir. Tout a été pensé pour nos bateaux extrêmes.”

Tellement satisfait de la collaboration, Jérémie Beyou a par la suite noué un partenariat technique avec la société britannique, dont il est un des ambassadeurs – aux côtés notamment d’Alan Roberts, de Conrad Colman ou de l’équipe Imoca Canada Ocean Racing. Il a notamment intégré sur Charal 2 “quatre feux sur alimentation pour éclairer les voiles d’avant, le système est resté intègre du début à la fin du Vendée Globe, alors qu’avec le foil, il y a de l’eau sur le chandelier en permanence”.

La Normande Sophie Faguet a elle aussi très vite été convaincue par les produits Exposure Marine “qui font aujourd’hui partie de l’équipement personnel que j’emmène avec moi partout, avec mon gilet et ma balise AIS”, notamment “les lampes frontales, totalement étanches, fermées, ergonomiques, extrêmement puissantes et une lampe torche qui devient flash-light si on tombe à l’eau”, la MOB Search Light. Lauréate d’un Dame Award lors du Mets d’Amsterdam en 2014, cette lampe flottante et rechargeable via un câble USB passe automatiquement en mode stroboscopique si elle tombe à l’eau. “Elle regroupe tout ce dont on a besoin à bord, que ce soit pour la sécurité, régler les voiles ou chercher une personne à la mer“, décrit Tom Harrop.

Fort de ces retours d’expérience positifs, Exposure Marine souhaite désormais convaincre davantage de navigateurs d’utiliser des lampes qui, “si elles ne sont pas les moins chères, durent plus longtemps car spécifiquement conçues pour une utilisation marine, à l’opposé de la culture du jetable que l’on trouve souvent dans les appareils électroniques bon marché fonctionnant sur batterie”, précise Tom Harrop. Avant d’ajouter : “Nous avons la réputation d’avoir les produits les plus fiables du marché et nous travaillons le plus possible en direct avec nos clients, car nous pensons qu’une telle relation permet de mieux répondre aux besoins spécifiques des équipes, des armateurs et des particuliers.”


Photo : Marin Le Roux / PolaRYSE


Contenu proposé par : Exposure Marine

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