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Comment MerConcept veut s’ouvrir à de nouveaux projets sportifs – contenu sponsorisé

D’abord dédiée au programme de son fondateur, François Gabart, MerConcept a depuis plusieurs années élargi son activité : en assurant notamment la gestion sportive d’autres projets, comme la filière Skipper Macif en Figaro, en assurant aussi tout ou partie de la conception et de la construction de bateaux de course. Chargées de la gestion du projet Imoca Apivia de Charlie Dalin et impliquées dans le design et la construction de pièces du futur Apivia 2, les équipes ont également développé 11th Hour Racing Team pour Charlie Enright et procédé ces deux dernières années à l’assemblage complet de l’Ultim SVR Lazartigue, puis de l’Imoca V and B-Monbana-Mayenne de Maxime Sorel dans ses locaux de Concarneau.

Deux expériences qui permettent aujourd’hui à MerConcept d’affirmer davantage ce double positionnement – entre gestion sportive et technique d’un projet et construction proprement dite – et donc de vouloir mettre son savoir-faire au service de nouveaux skippers et teams. “Nous souhaitons bien sûr continuer ces grandes histoires dans les catégories reines de la course au large, mais nous sommes également prêts à accompagner d’autres projetsconfirme Thibault Garin, directeur des opérations de MerConcept. Nous avons été approchés par plusieurs skippers issus de la classe Figaro désireux de passer en Ocean Fifty ou en Class40, deux classes bien organisées avec des budgets maîtrisés qui font sens. Nous suivons ça de très près.”

D’autant plus que les compétences acquises dans le domaine de l’ingénierie, du composite et des systèmes font aujourd’hui de MerConcept un chantier naval à part entière“Mis à part les très grandes pièces composites que nous sous-traitons à des chantiers partenaires, nous sommes autonomes à tous les stades de la fabrication d’un prototype, explique Nicolas de Castro, responsable construction, qui encadre la douzaine de techniciens composites en poste fixe à Concarneau. Nous avons notre propre machine à commande numérique pour plus de réactivité, une étuve de 6 mètres par 3 pour réaliser des pièces de structure complexes et à forte valeur ajoutée en pré-imprégné ou en infusion, et des compétences dans tous les domaines connexes à la construction proprement dite.”

L’expérience de V and B-Monbana-Mayenne, menée en parallèle des développements d’Apivia et du lancement de la construction d’Apivia 2 chez CDK Technologies, a aussi permis à l’équipe d’acquérir la maîtrise des aspects de la propriété intellectuelle, indispensables pour garantir la confidentialité d’un projet. Ce qui n’interdit pas de faire profiter un skipper de l’expérience acquise sur de grandes unités. “Nous pensons notamment qu’il existe des passerelles intéressantes entre les projets que nous gérons actuellement et ce que pourrait être un Ocean Fifty demain, confirme Thibault Garin. Une bonne approche serait pour nous d’accompagner un skipper dans l’acquisition d’un bateau existant pour l’upgrader avant de lancer une construction.”

Un timing d’autant plus réaliste que les équipes de construction aujourd’hui dédiées aux pièces structurelles d’Apivia 2 seront disponibles dès le printemps prochain, après la mise à l’eau du nouvel Imoca de Charlie Dalin. L’équipe de MerConcept sera à Saint-Malo à partir de la semaine prochaine, disponible pour répondre aux demandes et questions des skippers, teams et sponsors intéressés.

 

Photo : Guillaume Gatefait

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