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Au rayon fourni des colles sous blister des grandes surfaces de bricolage, la marque Araldite est bien connue de tous les bricoleurs. Mais dans le domaine de la course au large, il est plus difficile de savoir quels produits utilisent chantiers et skippers.

En signant il y a un an avec Plastimo un accord de distribution exclusif en France et en Belgique, Zhik, spécialiste de l’équipement personnel (vêtements et protections), souhaitait développer sa présence sur le marché français, la marque australienne met en avant des produits particulièrement légers.

Pour appuyer sa stratégie d’implantation dans l’univers de la voile de compétition, Araldite a ouvert en mai sur son site une page dédiée à la simulation des collages structuraux, baptisés les “Material Models”.

Spécialisée depuis 70 ans dans les systèmes composites et adhésifs utilisés dans des univers high-tech, Araldite, qui souhaite s’implanter dans le milieu du nautisme, s’appuie sur des experts, eux-mêmes marins pour certains.

Spécialisée depuis 70 ans dans les systèmes composites et adhésifs utilisés dans des univers high-tech, Araldite souhaite s’implanter dans le milieu du nautisme, et particulièrement dans celui de la voile de compétition.

Un capteur qui donne en temps réel la tension de l’étai et des haubans – Smarttune – un autre qui mesure les charges et efforts sur les voiles – Smartlink – la société britannique Cyclops Marine s’est installée depuis sa création, en 2018, sur un marché en pleine croissance : celui des capteurs. Avec un segment particulier dans son viseur, celui des régatiers amateurs naviguant sur des circuits type IRC.

Créée en 2018 sur le marché croissant des capteurs embarqués, la société britannique Cyclops Marine a été plongée d’entrée dans le grand bain en nouant un partenariat avec Ineos Team UK, le défi anglais engagé sur la 36e Coupe de l’America.

Créée en 2018 sur le marché croissant des systèmes de mesures embarqués, la société britannique Cyclops Marine tente d’implanter son capteur de charge Smarttune sur le marché français de l’IRC.

Sorti trop tard pour équiper les Imoca du Vendée Globe, le Nemesis a été retenu par Axel Tréhin pour son nouveau Class 40 Project Rescue Ocean, qui vient d’être mis à l’eau. Certains bateaux de la classe Ultim s’y intéressent également.

Après avoir remporté en 2017 la Transat Jacques Vabre pour la quatrième fois, Jean-Pierre Dick a lancé en 2018 les ETF Series, circuit disputé en ETF26, qui cherche attirer davantage d’équipes professionnelles.

Spécialisée dans les systèmes d’enroulement de voiles, la marque ProFurl a fait un retour remarqué sur le marché de la course au large en équipant deux des trois premiers du Vendée Globe 2020.

Ancien rugbyman devenu voileux par hasard, Bernard Gallay, après deux participations au Vendée Globe, s’est lancé dans le négoce de bateaux de course et de croisière. Une affaire qui ne cesse de se développer.